Parquets
Réservé à l’origine aux résidences royales et aristocratiques, l’usage du parquet s’est généralisé avec son évolution technologique à l’ère industrielle. Ses qualités thermiques, acoustiques et hygrométriques, associées à sa durabilité et à son esthétique intemporelle, en font un revêtement haut de gamme, adapté aujourd’hui à tous les types d’usage.
Un revêtement intemporel et authentique qui rime avec évolution technologique
Le terme ” parquet ” a une définition très précise, bien circonscrite et normalisée. Il s’applique à tout revêtement de sol en bois ou à base de bois, dont la couche d’usure supérieure (ou parement), en bois massif, a une épaisseur minimale de 2,5 mm, pour permettre plusieurs opérations de rénovation. Il existe deux grandes familles de sols en bois, les sols en bois massif et les sols stratifiés. Les premiers, les plus anciens, sont composés de lames pleines d’une seule essence de bois, tandis que les seconds, apparus au cours du XXe siècle, sont constitués de deux ou trois couches de nature différente.
D’autres revêtements de sol en bois, comme les panneaux mosaïques (constitués d’un assemblage de petites lattes parallélépipédiques), les pavés de bois (sciés transversalement au fil du bois) ou les lattes sur chant (posées bord à bord), font également partie de la lignée du parquet mais sont beaucoup moins courants.
Un autre type de parquet, le stratifié, souvent appelé à tort “parquet flottant”, n’en est pas un. Il ne possède pas de parement en bois massif et ne fait donc pas partie de la famille des parquets.
Les revêtements de sol stratifiés présentent un aspect imitation bois imprimé sur une couche composite. Ils offrent un large choix de couleurs et de motifs, sont légers et rapides à poser en pose flottante, mais souffrent d’inconvénients spécifiques – sol sonore, surface dure et brillante, dommages non réparables – qui ne souffriront jamais du caractère “vivant” d’un parquet.